La veuve de Jérôme Pépin, ébéniste, fille de Pierre
Leroux, occupe cette maison sur un emplacement d’½x2 arpents jusqu’à son
décès en 1876.
La maison et le jardin sont vendus à Isaie Lemieux
qui s’en défait en 1877 au profit d’Éphrem Dutilly.
En 1883 la maison passe à Toussaint Auclair,
tonnelier, qui la partage avec son fils Misail, célibataire.
En 1896, par testament, il laisse la maison à
sa fille Louise, célibataire, qui l’échange avec son frère Misail contre
un autre lot de la deuxième concession. Frère et sœur vécurent dans la
maison jusqu’en 1910 puis Misail occupe les lieux seul jusqu’en 1932.
Eugène Handfield loue la petite maison de la
tonnellerie située sur le même terrain en 1933.
En 1938, le testament de Misail établit son neveu
Octave Auclair comme propriétaire, mais ce dernier étant shérif à
Saint-Hilaire loue la maison à Ovila Paré puis à Jean-Paul Larivée à qui
il la vend en 1952.
Larivée vend la propriété à Marcel Vary en 1953.
Marcel Vary partage les lieux avec sa femme Aldwina
Dutilly, sa fille Jeannette et sa belle-mère. La fille est aujourd’hui
héritière de la maison qui est vacante.
Note : Un emplacement voisin fut vendu à Arthur
Brodeur, journalier, par Misail Auclair
en 1930. Arthur Brodeur fut infirmier à
Saint-Hyacinthe et à Montréal ou il vécut et il vendit son emplacement
en 1968 à son frère Théodore et ses sœurs Zénaide et Alma qui achetèrent
l’école des Trente (675 Richelieu) pour
y vivre.
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