ESSAI HISTORIQUE DE LA CORPORATION MUNICIPALE
DE SAINT-MARC-SUR-RICHELIEU
HYGIÈNE DU MILIEU
Période : 1856-1970
ABRÉGÉ
Les questions d’hygiène publique préoccupent
toujours les responsables d’une population.
En 1855, une épidémie de picote ou varicelle frappe
la municipalité. C’est pourquoi, le 14 septembre, le conseil avise la
famille d’Hermas Élie de ne pas communiquer avec les autres personnes de
la paroisse. Une nouvelle vague de picote surviendra en 1901.
Le premier comité d’hygiène pour la localité est
formé le 7 janvier 1889.
Une règlementation établie les règles en cas
d’épidémie.
L’égouttement des eaux de surface préoccupe aussi le
conseil municipal en 1895.
Une demande de vaccination inévitable est adressée
au conseil en 1902. Cette demande provenait du comité central d’hygiène.
En 1903, la diphtérie apparait.
Quelques fois, des membres de la communauté sont
contraints de recourir au service d’un avocat pour que la municipalité
s’occupe, en urgence, de leurs problèmes, spécialement quand l’eau
contient du purin de vaches.
En 1927, des maladies de rage apparaissent dans
notre localité. Le conseil se voit obliger d’homologuer un règlement qui
oblige le muselage de tous les chiens.
La même année, des cas de tuberculoses sont
détectés.
En 1941, le conseil de comté forme le premier comité
d'Unité sanitaire .
La collecte des déchets communément appelés les
vidanges fait l’objet d’étude en 1951. Par la suite le conseil loue à
différents endroits des terrains pour déposer ces vidanges et octroie
des contrats pour le ramassage de ces vidanges.
Graduellement, la corporation municipale de
Saint-Marc-sur-Richelieu, selon les nouvelles règlementations
provinciales, améliore chaque année sa gestion sanitaire et collabore
avec son voisinage pour garder un territoire propre et où il fait bon
vivre
Pour plus de détails sur la collecte et le dépôt
des vidanges :
Ici
Pour plus de détails sur autres hygiènes :
Ici
Publication : Décembre 2011
Révision : Juin 2019
Recherches : Jacques Hébert
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